Par beau temps, par vents forts, et même par orage
J’aime me pavaner sur ton corps, ton pelage,
Aussi doux qu’un bébé, aussi ferme qu’à 20 ans,
Tu sembles être passée hors des rides du temps.
Par beau temps, en été, je voudrais m’allonger
Sur une plage de sable blanc, et toi à mes côtés,
M’enivrer de tes formes, et pouvoir les toucher,
A travers ton maillot, que très vite, j’ôterais,
Laissant glisser mes mains au milieu de tes seins,
Les masser, les sucer, avec force et entrain.
Ma langue s’attardera à te faire du bien,
Comme si de rien n’était, on ira prendre un bain,
Dans cette eau bleue turquoise, je te chevaucherai
Mes coups de reins suivront le rythme de la marée,
Nous aurons certainement des poissons pour mater
L’extase, la jouissance, qu’on pourra se donner.
Par vents forts, à l’hôtel, on pourrait s’retrouver,
Et dans la salle de bain, je te déshabillerai
Fenêtres grandes ouvertes, le vent nous balaiera
De tes expertes mains, tu me déshabilleras.
Posée sur l’lavabo, ton corps sera à moi
Et je l’honorerai de mes lèvres, de mes doigts.
Après ce doux début, nos sexes excités,
Direction la baignoire, et là, je te prendrai
Tes beaux seins flotteront au milieu de la mousse,
Ton sexe rugira de toutes ces secousses,
Le vent ne pourra pas couvrir nos gémissements,
Quand coulera ma sève en toi abondamment.
Coincés dans une voiture par un violent orage,
On se regarde à peine, et des pulsions sauvages
Envahissent nos corps, pas besoin de parler,
On rabaisse nos sièges, on est déshabillés.
Mes doigts toujours coquins commencent à t’exciter,
Ta langue, assez canaille, commence à me sucer,
Ce vieux soixante-neuf, quelle bonne position,
Nos sexes dans nos bouches sont bien en érection.
Le ciel s’met à gronder et un orage éclate
Les anges auraient donc vu ma verge écarlate
Te prendre par derrière, assez sauvagement
Et jouir dans ton corps qui en était réclamant …….
J’aime me pavaner sur ton corps, ton pelage,
Aussi doux qu’un bébé, aussi ferme qu’à 20 ans,
Tu sembles être passée hors des rides du temps.
Par beau temps, en été, je voudrais m’allonger
Sur une plage de sable blanc, et toi à mes côtés,
M’enivrer de tes formes, et pouvoir les toucher,
A travers ton maillot, que très vite, j’ôterais,
Laissant glisser mes mains au milieu de tes seins,
Les masser, les sucer, avec force et entrain.
Ma langue s’attardera à te faire du bien,
Comme si de rien n’était, on ira prendre un bain,
Dans cette eau bleue turquoise, je te chevaucherai
Mes coups de reins suivront le rythme de la marée,
Nous aurons certainement des poissons pour mater
L’extase, la jouissance, qu’on pourra se donner.
Par vents forts, à l’hôtel, on pourrait s’retrouver,
Et dans la salle de bain, je te déshabillerai
Fenêtres grandes ouvertes, le vent nous balaiera
De tes expertes mains, tu me déshabilleras.
Posée sur l’lavabo, ton corps sera à moi
Et je l’honorerai de mes lèvres, de mes doigts.
Après ce doux début, nos sexes excités,
Direction la baignoire, et là, je te prendrai
Tes beaux seins flotteront au milieu de la mousse,
Ton sexe rugira de toutes ces secousses,
Le vent ne pourra pas couvrir nos gémissements,
Quand coulera ma sève en toi abondamment.
Coincés dans une voiture par un violent orage,
On se regarde à peine, et des pulsions sauvages
Envahissent nos corps, pas besoin de parler,
On rabaisse nos sièges, on est déshabillés.
Mes doigts toujours coquins commencent à t’exciter,
Ta langue, assez canaille, commence à me sucer,
Ce vieux soixante-neuf, quelle bonne position,
Nos sexes dans nos bouches sont bien en érection.
Le ciel s’met à gronder et un orage éclate
Les anges auraient donc vu ma verge écarlate
Te prendre par derrière, assez sauvagement
Et jouir dans ton corps qui en était réclamant …….